Gérard Delisle quelques notes à mon sujet..
C’est à Welland, au Canada, dans le sud de l’Ontario,
que j’ai vu le jour et où j’ai habité jusqu’à l’âge de 21 ans. La municipalité de Welland est située au centre de la péninsule du Niagara, pas très loin des villes de Toronto et Hamilton; à quelques kilomètres de la
frontière américaine.
Mes parents sont des Québécois qui sont déménagés à Welland pendant la deuxième guerre mondiale. Ma famille a longtemps demeuré sur la rue LaSalle, petites rues à l’ombre du
clocher, située à dix minutes de marche de la paroisse du Sacré-Coeur, dans un quartier qu’on appelle encore le «French Town ». À l’époque, toutes les
familles demeurant sur la rue LaSalle étaient francophones. J’ai fait mes études primaires et secondaires dans le réseau d’écoles de langue française
dont bénéficient les jeunes Franco-Ontariens de Welland depuis déjà plusieurs années, grâce au leadership, la fierté et la détermination de la communauté franco-ontarienne locale.
Pendant les années soixante-dix et quatre-vingt, j’ai travaillé comme animateur social en Ontario français au sein de divers organismes : Direction-Jeunesse (un organisme provincial créé par et pour des jeunes
franco-ontariens), le Sécrétariat d’État du Canada - maintenant Patrimoine Canada (Hamilton et Timmins), l’Association canadienne-française de l’Ontario (au secrétariat provincial à Ottawa, comme coordonnateur
provincial du service d’animation ).
J’ai aussi travaillé pour le compte du Centre de développement de l’enfance et de la jeunesse, un centre de santé mentale désservant les enfants et les adolescents de la région de Smooth Rock Falls, Kapuskasing et Hearst.
Ami de Radio-Canada depuis l’âge de 13 ans, j’ai eu le plaisir de travailler pour cette société d’état à titre d’adjoint à la direction de CBON, la radio
française de Radio-Canada dans le nord de l’Ontario. Plus tard, j’ai occupé les postes de coordonnateur régional des services en français et de superviseur de programmes au Ministère des services sociaux et
communautaires de l’Ontario (région de Hamilton/Niagara). Plus récemment, j’ai travaillé pour Ombudsman de l’Ontario.
Autodidacte et grand curieux, depuis ma retraite, je consacre plus de temps à ma passion, la photographie. Je suis membre du Club de photographie
Polarisé de l’Outaouais.
J’ai quatre grands enfants, dont je suis particulièrement fier !
Maxime Poulin-Delisle a dix-neuf et fréquente l’École d’ingénierie de l’Université d’Ottawa. Mélanie, 21 ans, a fait des études à l’Université d’Ottawa et à la University of New Brunswick.
Depuis septembre, elle explore l’Europe et l’Asie. Catherine Poulin-Delisle, 23 ans, a récemment complété des études en service social au Northern College à Timmins. En septembre 2007, elle fréquentera
l’Université d’Ottawa. Mon plus vieux, Stéphane Delisle, a 34 ans, est installé à Vancouver et travaille au service des communications des Jeux d’hiver de 2010.
Quelles sont mes intérêts outre la photographie et mes enfants ?
J’en ai plusieurs car je suis gourmand de nature : le cinéma/les média et les nouvelles technologies, la lecture et l’écriture, les collages et les arts en
général, la cuisine, le cyclisme, le plein air, le jardinage, la croissance personnelle/la santé mentale et la santé tout court, la simplicité volontaire,
les relations hommes-femmes/interpersonnelles/intergénérationelles et interculturelles, l’Ontario français et la francophonie, etc. À l’occasion, je présente des causeries sur mon vécu avec la dépression.
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